Il a utilisé un son et une couleur par pays ; associés au son spécifique signalant le changement d'année, l'ensemble donne une oeuvre de musique minimaliste, assez envoûtante, hypnotisante, et légèrement écœurante quand on se reprend à penser que chaque point sur la carte est un essai de bombe nucléaire.
Je pourrais disserter sur l'inanité financière de ces 2053 occasions de mieux dépenser l'argent du contribuable, mais mon propos n'est pas là.
En regardant ce film (il dure plus d'un quart d'heure quand même), j'ai eu peur. Je me suis dit qu'un jour... ce ne serait plus un essai, encore une fois. Une fois de trop.
La dernière.
Cette petite mélodie entêtante à des airs de musique de fin du monde.
La dernière.
Cette petite mélodie entêtante à des airs de musique de fin du monde.
via Art Space Tokyo : Half a century of nuclear explosions
Cet article est le pendant d'une chronique beaucoup plus longue qui sera publiée sur les Chroniques de Sammy dans quelques jours. Je placerai les liens de l'un vers l'autre dès que le texte sera publié.
Mise à jour du 08/07/2009 :
La chronique annoncée est désormais en ligne : Minuit moins 5 à Longyearbyen
Mise à jour du 08/07/2009 :
La chronique annoncée est désormais en ligne : Minuit moins 5 à Longyearbyen
Tu me préviendras pour l'article promis ; merci.
RépondreSupprimerUn compteur assez effroyable, en effet ...
Rien à voir : je vois, en commentant, tes Conseils de lecture à droite. Tu expliqueras ?
Bon w-e !
Je n'y manquerait pas ! :-)
RépondreSupprimerLes "Conseils de lecture" de la colonne de droite, c'est juste la blogroll de ce blog ci.